Publié le 10 Feb 2023 - 10:21

Macky Sall, champion d’une université sénégalaise sociale et solidaire

 
Nous savons combien Son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la République, Chef de l’Etat est profondément attaché au dialogue social, à la paix, à la stabilité sociale, au dialogue avec tous les partenaires sociaux des universités publiques de notre pays. 
 
Le Personnel Enseignant et de Recherche/PER, les étudiants et les Personnels Administratifs, Techniques et de Services/PATS, trouvent, à chaque fois que de besoin, en sa personne, une oreille attentive, une attention soutenue qui se sont toujours traduites par des réalisations spectaculaires, palpables, satisfaisantes. 
 
Le Haut Conseil du Dialogue Social, un solide dispositif tripartite rompu à toutes les techniques de négociations, profondément ancrée dans un créneau perlé d’expertises transnationales avérées, sous la conduite d’une Présidente aussi engagée qu’efficace nous aide à la matérialisation de la vision de Son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la République, Chef de l’Etat : dialoguer en tout temps et en tout lieu, sans relâche, avec les partenaires sociaux des universités publiques pour une pacification aboutie de ces environnements hautement conflictogènes, sensibles, volatiles. Les résultats du HCDS sont palpables et vérifiables sur le terrain.
 
En vérité, toutes les composantes de nos universités ont toujours trouvé en sa personne un interlocuteur tout à fait disposé à aller dans le sens de leurs revendications corporatistes et syndicales. Les preuves sont là, palpables. Le SAES a déposé son préavis de grève le 31 octobre 2022, préavis couvrant la période du 31 octobre 2022 au 30 décembre 2023 et comporte divers points de revendication. Dès le 6 novembre 2022, donc avant l’expiration du préavis, le Gouvernement du Sénégal, représenté par Monsieur Le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, Le Professeur Moussa BALDE, a décidé d’ouvrir les négociations avec le SAES. Remarquons ici la promptitude, la vigilance de l’autorité gouvernementale et de la tutelle. Très rapidement, elles se sont saisies du dossier pour parer à toute perturbation du bon fonctionnement des universités publiques. Leur souci de la stabilité du sous-secteur est d’une préoccupation certaine. Sans tarder, un comité technique paritaire fut mis en place afin de proposer des modalités de prise en charge, de prise en considération des différents points de la plateforme revendicative du SAES. 
 
Mieux, dans la même perspective de manifester sa très bonne volonté de mener à bon port notre système d’enseignement et de recherche du supérieur, Son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la République du Sénégal, Chef de l’Etat, a accordé une audience au Top Management du SAES, le 17 novembre 2022. Et le 6 janvier 2023, un protocole d’accord fut signé, pour le Gouvernement représenté par Monsieur Le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Le Professeur Moussa BALDE, pour le SAES, représenté par Monsieur Le Secrétaire général, Monsieur Le Professeur David Célestin FAYE et le Secrétaire général de l’UNSAS, Monsieur Mademba SOCK. Constatons ici le rythme soutenu et intense de ce processus voulu et engagé par Son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la République, Chef de l’Etat. C’est là une preuve manifeste supplémentaire de sa sincère disposition à dialoguer, toujours dialoguer, encore dialoguer pour la paix et la stabilité dans tous nos établissements d’enseignement supérieur. En outre, c’est sur des propositions formulées par les militants et minutieusement recueillies par le Bureau national du SAES en tournée sur le terrain, à savoir les augmentations salariales, la hiérarchie hors échelle, le relèvement de l’indemnité d’enseignement de 50% à 60% de la solde indiciaire, la défiscalisation de l’indemnité de logement payée à 100 000 francs CFA nets, la hausse du point d’indice de 5%, la hausse du montant actuel de la prime de recherche, le nivellement des écarts verticaux entre les salaires correspondant aux différents grades, que le Gouvernement a accepté de travailler.
 
Autrement, les propositions soumises par le SAES ont servi de document de travail durant tout le processus de négociations avec le Gouvernement du Sénégal ; c’est une posture de hauteur, d’ouverture et inclusive des autorités gouvernementales que nous devons relever et saluer. En conséquence, les négociations aboutirent positivement et le Gouvernement du Sénégal a accepté la revalorisation des salaires des enseignants-chercheurs et chercheurs en deux temps : janvier 2023 et janvier 2024. Il a été retenu et convenu par les deux parties que cette augmentation allait être intégrée dans les bulletins de salaire comme ce qui suit : une nouvelle rubrique sera aménagée dans le bulletin de salaire, libellée Prime de Recherche (PR) pour justifier de la mensualisation et de l’augmentation de ladite prime. Pour rappel, cette prime se montait à 300 000 francs annuels, soit 25 000 mensuels. Désormais, avec l’accord du Gouvernement du Sénégal, elle passe à la somme de 165 000 francs mensuels (non imposable), à compter du mois de janvier 2023. Ce point est effectif et matérialisé dans le bulletin de salaire du mois de janvier 2023. Le Gouvernement du Sénégal a accepté de revaloriser la prime académique spéciale (PAS) qui était de 300 000 FCFA mensuels.
 
Désormais, elle connait une augmentation indexée sur les grades en janvier 2023 puis en janvier 2024. Globalement, les Professeurs Titulaires de Classe Exceptionnelle et les Directeurs de Recherche Titulaire de Classe Exceptionnelle, de 90 000 FCFA se retrouveront avec la somme de 610 000 FCFA (effets combinés Impact de la Note du DGES de 2022, Revalorisation Janvier 2023 (70%), Reliquat Janvier 2024 (30%), Revalorisation totale). Les Professeurs titulaires et les Directeurs de recherche titulaire, de 85 000 FCFA, gagnent 555 000 FCFA (effets combinés Impact de la Note du DGES de 2022, Revalorisation Janvier 2023 (70%), Reliquat Janvier 2024 (30%). Les Professeurs assimilés et les Directeurs de recherche assimilés, de 80 000 FCFA gagnent 500 000 F CFA (effets combinés Impact de la Note du DGES de 2022, Revalorisation Janvier 2023 (70%), Reliquat Janvier 2024 (30%). Les Maîtres de conférences titulaires et les Chargés de recherche titulaires, de 70 000 FCFA, gagnent 425 000 FCFA (effets combinés Impact de la Note du DGES de 2022, Revalorisation Janvier 2023 (70%), Reliquat Janvier 2024 (30%). Les Maîtres de conférences assimilés et les Chargés de recherche assimilés, de 60 000 FCFA gagnent 380 000 F CFA (effets combinés Impact de la Note du DGES de 2022, Revalorisation Janvier 2023 (70%), Reliquat Janvier 2024 (30%). Enfin, les Assistants, de 45 000 FCFA, gagnent la somme de 315 000 FCFA (effets combinés Impact de la Note du DGES de 2022, Revalorisation Janvier 2023 (70%), Reliquat Janvier 2024 (30%). La défiscalisation de l’indemnité de fonction est effective dans certaines universités. 
 
Pour preuve, sur le bulletin de salaire du mois de janvier 2023, les codes concernés par l'application du protocole d'accord se donnent à voir comme ce qu’il suit : Le Code 195 : Prime de recherche. Le Code 853 : Prime académique spéciale. Concernant la défiscalisation de l'indemnité de fonction, l'impact se trouve à deux niveaux : sur le code 390 (brut imposable) et sur le code 560 (impôts sur le revenu). Au niveau du code 390 intitulé "Brut imposable" il y aura une baisse (comparaison faite avec le bulletin de salaire du mois de Décembre) d'un montant assujetti aux postes de responsabilité :  Vice-recteur : Baisse de 217000. Doyen/Directeurs école ou institut ayant rang de faculté : Baisse de 217000. PER Directeur centraux du rectorat : Baisse de 200000. Assesseurs/Directeur des études/Directeur école ou institut ayant rang d'institut d'université : Baisse de 200000. Chef de département/Directeur des études école ou institut ayant rang d'institut d'université : Baisse de 185000. Directeur des instituts de faculté : Baisse de 125000. Directeur des études des instituts de faculté : Baisse de 100000. Concernant le code 059 : c'est un rappel d'impôt dû à une régularisation des impôts qui se fait à chaque mois de Décembre suite à la défiscalisation de l'indemnité de logement. D'autres impacts sont attendus concernant certains enseignants.
 
Le Gouvernement du Sénégal, selon les textes en vigueur, s’engage à rétablir immédiatement les veuves et veufs des enseignants-chercheurs dans leurs droits en effectuant le calcul de la pension de réversion. La pension de réversion sera ainsi calculée sur la base du taux de remplacement qui est de 85% du dernier salaire net depuis l’accord de 2018 et la publication du décret n° 2020-1788 du 20 septembre 2020 créant une allocation spéciale de retraite au profit des enseignants-chercheurs et chercheurs titulaires des universités. Le Gouvernement du Sénégal marque son intérêt à la préservation effective du patrimoine foncier de toutes les universités publiques du Sénégal par le truchement des audits et des négociations conduites par Messieurs les Recteurs. Le Gouvernement du Sénégal reste préoccupé et s’attache à faciliter l’accès des enseignants-chercheurs et chercheurs au logement décent, confortable et digne en mettant à leur disposition des parcelles à usage d’habitation dans chaque ville universitaire. Equité sociale, équité professionnelle, équité territoriale à l’œuvre. 
 
Le Gouvernement du Sénégal reste mobilisé pour la mise en place diligente de tous les organes de gouvernance des universités publiques, à savoir, le Conseil académique, Conseil d’administration, etc. avant la date du 31 janvier 2023. Nous pouvons affirmer que ce processus a été mené et bouclé avec brio par la Direction générale de l’Enseignement supérieur du Mesri. Le Gouvernement du Sénégal a aussi accédé à la revendication du SAES pour l’appel à candidature pour la désignation des Recteurs des universités publiques pour lesquelles le mandat est arrivé à terme. En application des décrets 2021-846 du 24 juin 2021, relatif aux modalités de nomination du Recteur dans les Universités publiques et 2021-1501 du 16 novembre 2021, fixant les règles d’organisation et de fonctionnement, l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, ce 6 janvier 2023, a procédé au lancement de son appel à candidature à cet effet. L’engagement gouvernemental est ici aussi respecté. De février à mars 2023, aux pas de charge, sur un rythme soutenu et intense le Gouvernement du Sénégal et ses partenaires sociaux universitaires se pencheront sur les nouveaux besoins en infrastructures et en équipements, l’évaluation du déficit d’enseignants dans les universités publiques et la finalisation du programme de recrutement 2023-2026 demandé par Son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la République, Chef de l’Etat lui-même, l’envoi de tous les textes de gouvernance et de financement de la recherche proposés par la commission technique paritaire depuis avril 2021 aux universités pour avis et observation avant la validation définitive, l’évaluation du CAMES ainsi que la révision du guide d’évaluation 2024-2027.
 
Les Personnels administratifs, techniques et de services, sont à féliciter car ils sont engagés dans un quotidien fait de stress, d’épuisement mais de vigilance, d’engagement, de détermination pour la bonne marche de cette administration sans laquelle les universités ne peuvent fonctionner correctement et efficacement. Les partenaires à satisfaire- PER, Etudiants- sont d’une exigence telle qu’ils doivent rester mobilisés et réactifs à toutes leurs sollicitions tant les situations d’urgence à endosser et à exécuter sont aussi nombreuses que diverses. Bref, c’est dire qu’ils restent mobilisés durant toute l’année universitaire. Cette posture constructive, citoyenne et patriotique des PATS a permis la signature du protocole d’accord avec le Gouvernement du Sénégal, qui est resté toujours à leur disposition. C’est le lieu de saluer et de magnifier l’élégante posture de Monsieur Le Ministre de l’Enseignement supérieur, de Recherche et de l’Innovation, Le Professeur Moussa BALDE, un homme ouvert, disponible, attentif et qui, malgré une ambiance tendue, mouvementée lors des négociations avec les syndicats PATS, a tenu à aboutir à un protocole d’accord qui s’est matérialisé par son application sans retard aggravé. 
 
Ce protocole fut effectivement signé le 19 décembre 2022 entre d’une part, l’Intersyndicale des PATS (SATUC, SYNTUS, SYNPICS section UCAD/UGB/UIDT, SATCOUS section UCAD/UGB  SYNTRAS section UCAD/UGB/UIDT, CNTS FC sections UCAD/UGB, UNSAS EPT, SYNIEUS, SYNAPES), Le SYNTES, Le SATSUS, et d’autre part, les Directeurs des Centres des Œuvres Universitaires sociales UADB, UGB, UAM, UIDT, UASZ, COUD, le Directeur de l’Ecole Polytechnique de Thiès, les Recteurs des Universités publiques du Sénégal, et Monsieur Le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, Le Professeur Moussa BALDE. Au terme des discussions soutenues et constructives, il fut décidé de ce qui suit : une augmentation de 5% de la solde de base à compter du mois de mai 2022, payable à partir du mois de janvier 2023, un relèvement de la prime administrative spéciale de 50% soit la somme de 75 000 FCFA, payable ainsi qu’il suit : 80% soit la somme de 60 000 FCFA à compter d’octobre 2022, 20% soit la somme de 15 000 FCFA payable à compter du mois de juillet 2023. Au total, la prime administrative spéciale passe de 150 000 FCFA à 210 000 FCFA au 1er octobre 2022 et de 210 000 FCFA à 225 000 FCFA le 1er juillet 2023. Notons qu’il est envisagé la signature du décret remplaçant celui du 2000/103 du 17 février 2000, portant régime spécial applicable aux personnels administratifs, techniques et de service des universités et des centres des œuvres universitaires. Des rencontres trimestrielles seront tenues entre les syndicats des PATS et le MESRI pour une correcte instauration d’un climat social et de travail apaisé et serein ;une réflexion poussée sur la retraite des personnels administratifs, techniques et de service est une des préoccupations majeures des parties prenantes. 
 
Les étudiants, dont l’accroissement exponentiel est constaté de tous, de par leur statut d’apprenants, de jeunes chercheurs, sont évidemment confrontés à des situations qu’il faut absolument adresser et améliorer diligemment et notablement. Les Centres des Œuvres sociales universitaires(Coud et les Crous) font face, au quotidien à ces demandes en restauration, en hébergement, en sécurité, en santé, demandes incompressibles sur tous les campus sociaux du Sénégal. Le cadre de vie des étudiants constitue aussi une des préoccupations des Directeurs du COUD et des CROUS. Les budgets voient leurs montants en hausse grâce aux efforts du Gouvernement du Sénégal. Pour exemple, le budget initial du COUD, pour l’exercice 2022, était arrêté en recettes et en dépenses à la somme de Vingt-deux milliards quatre cents dix-neuf millions cents soixante mille FCFA (22 419 160 000FCFA) : départ= 22 419 160 000 FCFA ; arrivée= 41 428 253 166 FCFA ! Cependant, à la fin de la gestion 2022, le budget du COUD est équilibré en recettes et en dépenses à la somme de Quarante-et-un milliards quatre cents vingt-huit millions deux cents cinquante-trois milles cents soixante-six FCFA (41 428 253 166 FCFA) ! Cette situation s’explique par la prise en charge des œuvres sociales de l’UAM et d’USSEIN, la prise en compte des dépenses liées à la réouverture des campus sociaux. Notons qu’il arrive que 96 000 repas soient servis journellement. 
 
Quant à la Direction des bourses, son objectif est celui d’améliorer sensiblement la prise en charge sociale des étudiantes et étudiants. Monsieur Le Directeur des bourses y veille et veille scrupuleusement au renforcement de l’efficience des allocations d’études. Ainsi, la Direction des bourses s’assure du paiement régulier des allocations au plus tard à partir du 05 de chaque mois, respecte ce chronogramme depuis plusieurs années grâce à l’engagement et à la détermination des ressources humaines de qualité du MESRI et du MFB. Aussi, depuis 2010, le montant des allocations des bourses nationales est passé de 31 884 382 000 FCFA en 2021 pour 77 924 étudiants, à 68 697 315 000 FCFA en 2022 pour 130 323 étudiants, sans tenir compte du montant des aides ministérielles estimé à 2 100 800 000 FCFA pour 21 008 étudiants bénéficiaires. Récapitulons pour 2021-2022 : montants des bourses : 68 697 315 000 FCFA ; aides : 2 100 800 000 FCFA/ Effectifs : bourses : 130 323 étudiants ; aides : 21 008 étudiants/soit un montant total de 70 798 115 000 FCFA pour 151 331 étudiants allocataires. Il est notable de ce fait que 74% des étudiants inscrits bénéficient d’une bourse. Par ailleurs, la Direction des bourses gère, avec tact et humanisme, les étudiants retardataires dont les paiements sont effectifs après leurs inscriptions dans les universités. 
 
Interprétation : Nouvelles créations (UVS, USSEIN, UAM, ISEP, nouveaux Masters), amélioration des taux de réussite dans les universités avec le système LMD, massification de l’UVS avec un bon taux de réussite (60 à 80%), augmentation des taux de bourses depuis 2018, augmentation des nouveaux bacheliers chaque année. Vous conviendrez avec moi que ce sont là des moments de mobilisation et de vigilance de tous les instants dans lesquels sont plongés le Directeur des bourses et ses agents.Pour ce qui est de l’étranger nous avons la situation suivante : récapitulation paiement 2021-2022 : effectif des bénéficiaires : 4121 pour un montant de 7 699 562 779, 4 FCFA. Ces efforts considérables, matérialisés avec responsabilité, courage et engagement de tous les Directeurs des centres des œuvres sociales universitaires ainsi que le Directeur des bourses sont à saluer et à magnifier. Eux tous sont attachés à la matérialisation de la vision de Son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la République du Sénégal, Chef de l’Etat. 
 
Nous ne reviendrons pas ici sur les imposantes infrastructures qui émergent un peu partout dans notre pays. Dakar a perdu le monopole des chantiers ; elle est désormais concurrencée par les capitales régionales qui n’entendent plus rester en rade. Le Gouvernement du Sénégal a, là aussi, consenti des montants colossaux pour le maillage scientifique, l’équité territoriale mais aussi l’équité numérique nationale. Tous doivent avoir le droit et le confort à accéder à l’éducation, à la formation, à l’information, à la science, pour embarquer sereinement dans notre siècle si créatif. 
 
Enfin, les PER ont engrangé par la négociation intelligente, soutenue, tenace auprès des autorités gouvernementales des gains considérables et salués par toute la communauté des enseignants et chercheurs du Sénégal. Le Gouvernement du Sénégal a marqué lui aussi des points importants en démontrant sa bonne et forte foi dans les vertus cardinales du dialogue social, de la négociation avec les partenaires sociaux des universités publiques. Son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la République du Sénégal, Chef de l’Etat est un homme pétri de fortes qualités humaines solidement adossées à une empathie inégalable. Viscéralement sensible aux couches sociales vulnérables, aux revenus modestes, il a toujours veillé, de par ses mains protectrices, de par son esprit de dialogue jamais pris à défaut, de par sa retenue, de par sa mesure, toutes qualités sincères reconnues par tous, à ce que tous les citoyens sénégalais se retrouvent dans le PSE. 
 
Ces brillantes et incontestables réalisations engrangées dans et par le front social universitaire sont rendues possibles grâce à la hausse conséquente de tous les budgets du sous-secteur de l’enseignement supérieur consentis par le Gouvernement du Sénégal. Les chiffres sont là et sont vérifiables par tous les acteurs concernés et par tous les citoyens sénégalais de bonne foi. Véritablement, la prise en charge et la satisfaction diligentes des revendications formulées par les partenaires sociaux des universités publiques sénégalaises constituent un des cœurs de métiers qui bénéficient une attention toute particulière de la part de Son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la République du Sénégal, Chef de l’Etat. La paix sociale, matrice de tout développement humain, génitrice de tout épanouissement humain. Tel est le crédo de Son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la République, Chef de l’Etat et de son Gouvernement. 
 
 
Qui a fait mieux et plus dans le passé ? 
 
Dakar, 26 janvier 2023
Contribution signée
M. Daha Chérif BA, 
Docteur d’Etat-es-Lettres 
Professeur-Titulaire des Universités/CAMES
Directeur de l’Enseignement supérieur public,
Vice-Coordonnateur national du Réseau des Universitaires républicains/RUR
Membre de l’Alliance Pour la République/APR

 

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