Publié le 22 Jul 2012 - 10:05
TWITTER

Valérie Trierweiler a effacé tous ses tweets pendant la nuit

 

 

Valérie Trierweiler, première dame de France, a supprimé tous les posts de son compte Twitter cette nuit, plus d'un mois après son message de soutien au candidat concurrent de Ségolène Royal, le 12 juin, qui avait provoqué la colère de François Hollande. Depuis, elle n'avait plus rien tweeté.

 

Hier soir, la twittosphère a subi un choc. Valérie Trierweiler a supprimé l’intégralité de ses tweets, postés depuis son inscription. De sa page Twitter, il ne reste plus que des retweets. Cet effacement d’ardoise express survient plus d’un mois après l’affaire du tweet tumultueux qui a fâché tout le monde et surtout son mari, le président François Hollande. En pleines élections législatives, Valérie Trierweiler avait ouvertement affiché un soutien sans équivoque à Olivier Falorni, le concurrent direct de Ségolène Royal sur la circonscription de La Rochelle.

 

La première dame a regretté son tweet quelques jours après l’avoir posté, mais évidemment, la bombe était lancée. Et l'affaire du tweet était devenue une affaire d’État. Pourtant ces derniers temps, toute cette histoire semblait être close.


 

La semaine dernière, Valérie Trierweiler semblait même s’en amuser, et s'était permis une conclusion humoristique : « Je tournerai sept fois mon pouce maintenant, avant de tweeter » avait-elle déclaré juste avant de monter sur un chalutier avec François Hollande. D'ailleurs, elle l'a tellement tourné, son pouce, qu'elle n'a plus rien posté depuis le tweet fatal.

 

Il faut dire que le président s’est montré ferme à ce sujet, lors de son discours du 14 juillet. « Les affaires privées se règlent en privé » a-t-il déclaré, ajoutant que ce genre de le post de ce genre de tweet perso ne se reproduirait plus...

 

 

La suppression massive de ces messages va-t-elle permettre à Valérie de se refaire une virginité ? Peut-être. Elle va surtout relancer le Trierweilergate pendant quelques heures ; hier soir, sur Twitter, on ne parlait (presque) que de ça.

 

 

Voici

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