Publié le 30 Jul 2012 - 09:50
BUREAU DE L'ASSEMBLÉE NATIONALE

Barthélémy Dias attend un poste

 

Quelqu'un qui est promis à un bel avenir à l'Assemblée nationale, c'est bien Barthélémy Dias qui ne doit pas regretter le bras de fer qu'il a engagé contre le régime de Wade. Le désormais député-maire est assuré d'avoir un poste dans le bureau ou une des commissions de l'Assemblée nationale. Avec Dias-Papa qui devrait atterrir comme nous l'écrivions déjà, au Conseil économique et social, on ne dira pas que la famille n'a pas été bien servie. Barthélémy Dias était poursuivi pour «homicide volontaire». Le jeune maire de la commune d’arrondissement de Mermoz-Sacré Cœur à Dakar, a recouvré la liberté mardi 22 juin dernier après près de 5 mois de détention préventive. Après plusieurs demandes, le juge d’instruction en charge du dossier a finalement accordé la liberté provisoire à Barthélémy Dias. Une cinquantaine de nervis envoyée par des proches d’Abdoulaye Wade avaient fait irruption dans les locaux de sa mairie pour l’intimider. Une fusillade s’en était suivie, soldée par la mort de l’un des assaillants, Ndiaga Diouf.

 : Barthélémy Dias attend un poste

Quelqu'un qui est promis à un bel avenir à l'Assemblée nationale, c'est bien Barthélémy Dias qui ne doit pas regretter le bras de fer qu'il a engagé contre le régime de Wade. Le désormais député-maire est assuré d'avoir un poste dans le bureau ou une des commissions de l'Assemblée nationale. Avec Dias-Papa qui devrait atterrir comme nous l'écrivions déjà, au Conseil économique et social, on ne dira pas que la famille n'a pas été bien servie. Barthélémy Dias était poursuivi pour «homicide volontaire». Le jeune maire de la commune d’arrondissement de Mermoz-Sacré Cœur à Dakar, a recouvré la liberté mardi 22 juin dernier après près de 5 mois de détention préventive. Après plusieurs demandes, le juge d’instruction en charge du dossier a finalement accordé la liberté provisoire à Barthélémy Dias. Une cinquantaine de nervis envoyée par des proches d’Abdoulaye Wade avaient fait irruption dans les locaux de sa mairie pour l’intimider. Une fusillade s’en était suivie, soldée par la mort de l’un des assaillants, Ndiaga Diouf.

 

 

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