Publié le 30 Jan 2014 - 06:22
PREMIER SKILLS

Le football, facteur d’inclusion sociale

 

Après plusieurs années d’exécution du programme Premier skills dans 21 pays à travers le monde, dont le Sénégal, le Britsh council a organisé une rencontre internationale de 48 heures (du 27 au 28 janvier) à Dakar avec ses différents partenaires (Barcleys Primier League et Sport4charity, de Salif Diao) pour échanger sur la faculté du football à assurer ‘’l’inclusion sociale’’ chez les jeunes dans les zones défavorisées.

Durant deux jours (27 et 28 janvier), les partenaires au programme ‘’Premier skills’’, British council, Barclays Premier League et Sports4charity, initié par l’ancien international sénégalais de football Salif Diao, se sont réunis à Dakar avec les délégations venues de l’Ouganda, du Nigeria, du Soudan et de la Grande Bretagne.

Cette rencontre internationale a permis aux différents participants d’acquérir une expertise sur la manière dont les ‘’pratiques d’inclusion sociale’’ doivent être prises en charge par le football. D’où le thème de cette rencontre ‘’le football, outil de cohésion communautaire. Comment intégrer la problématique de l’inclusion sociale à ce sport (football)’’.

Ces échanges serviront également à améliorer le programme Premier skills. Celui-ci a pour vocation de former des entraîneurs et arbitres amateurs dans les ‘’zones défavorisées’’, selon les explications de l’ancien international sénégalais Salif Diao, qui faisait face à la presse hier. Celui-ci souligne d’ailleurs que le but de son association, Sports4charity, consiste ‘’à pousser les enfants à rester à l’école’’.

‘’Avec les difficultés économiques actuelles au Sénégal, poursuit-il, les parents n’ont plus le temps de veiller sur l’éducation de leurs enfants. C’est là que nous intervenons pour les accompagner (enfants) au plan sportif et éducatif’’. C’est dire l’importance qu’il y a d’avoir des entraîneurs, qui sont avant tout des ‘éducateurs’’, qui comprennent la ‘’psychologie des enfants’’.

Depuis sa création en 2007, Premier skills a formé 2300 entraîneurs et arbitres dans 21 pays dans le monde dont le Sénégal. Ces derniers ont à leur tour encadré 500 000 jeunes. D’ici 2016, ce programme compte atteindre 25 pays et former 3 000 entraîneurs qui encadreront 300 000 jeunes.

négal, le Britsh council a organisé une rencontre internationale de 48 heures (du 27 au 28 janvier) à Dakar avec ses différents partenaires (Barcleys Primier League et Sport4charity, de Salif Diao) pour échanger sur la faculté du football à assurer ‘’l’inclusion sociale’’ chez les jeunes dans les zones défavorisées.

Durant deux jours (27 et 28 janvier), les partenaires au programme ‘’Premier skills’’, British council, Barclays Premier League et Sports4charity, initié par l’ancien international sénégalais de football Salif Diao, se sont réunis à Dakar avec les délégations venues de l’Ouganda, du Nigeria, du Soudan et de la Grande Bretagne.

Cette rencontre internationale a permis aux différents participants d’acquérir une expertise sur la manière dont les ‘’pratiques d’inclusion sociale’’ doivent être prises en charge par le football. D’où le thème de cette rencontre ‘’le football, outil de cohésion communautaire. Comment intégrer la problématique de l’inclusion sociale à ce sport (football)’’.

Ces échanges serviront également à améliorer le programme Premier skills. Celui-ci a pour vocation de former des entraîneurs et arbitres amateurs dans les ‘’zones défavorisées’’, selon les explications de l’ancien international sénégalais Salif Diao, qui faisait face à la presse hier. Celui-ci souligne d’ailleurs que le but de son association, Sports4charity, consiste ‘’à pousser les enfants à rester à l’école’’.

‘’Avec les difficultés économiques actuelles au Sénégal, poursuit-il, les parents n’ont plus le temps de veiller sur l’éducation de leurs enfants. C’est là que nous intervenons pour les accompagner (enfants) au plan sportif et éducatif’’. C’est dire l’importance qu’il y a d’avoir des entraîneurs, qui sont avant tout des ‘éducateurs’’, qui comprennent la ‘’psychologie des enfants’’.

Depuis sa création en 2007, Premier skills a formé 2300 entraîneurs et arbitres dans 21 pays dans le monde dont le Sénégal. Ces derniers ont à leur tour encadré 500 000 jeunes. D’ici 2016, ce programme compte atteindre 25 pays et former 3 000 entraîneurs qui encadreront 300 000 jeunes.

 

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