Publié le 11 Oct 2019 - 01:49

Une synergie des cœurs et des efforts, derrière Sem Macky Sall, pour un Sénégal plus émergent

 

L'espace politique sénégalais est de nos jours, comme depuis 2012 d'ailleurs, miné par bon nombre de maux, parmi lesquels une opposition et des politiciens déguisés aux abois qui ne cessent de s'illustrer de par leur manque de discernement et leur phobie de voir le pays sombrer dans une déchéance, voire tomber dans un gouffre sans issue; mais aussi et surtout de voir le Président Macky Sall échouer dans sa noble mission d'émerger le Sénégal ( l'on est tenté de se poser la question à savoir à quel "patriote profiterait un échec qui amènerait les Sénégalais à recommencer à zéro?).

L'accession à la Magistrature Suprême de SEM Macky Sall n'aura pas fait que des heureux. 2012 consacre la deuxième alternance démocratique du Sénégal, une alternance générationnelle car le pays a, désormais à sa tête un Chef de l'État né après l'indépendance. Ravir la vedette à des chefs de parti présents sur le terrain politique depuis au moins une dizaine d'années pour la plupart, constitue la véritable faute que SEM Macky Sall ait commise, une claque "salée, pimentée et poivrée" que les "baobabs"( de par leur ancienneté dans le landerneau politique, présence visible ou déguisée) n'ont pu digéré. Il faut se rappeler que la plupart des aspirants au pouvoir avaient décidé de rester à la place de l'Obélisque, au lieu de sillonner le pays afin de décliner leur programme.  Et depuis lors, bonjour la cabale !

La pilule amère de la cinglante et éclatante victoire du Chef de L'État coincide avec le début de cette cabale, qui ne dit pas son nom, en son encontre. Des velléités acerbes sont essuyées chaque jour par le locataire de l'Avenue Roume, sa famille, ses proches et sympathisants. Son seul tort, remporter l'élection présidentielle de 2012, à sa première participation, et surtout avoir battu à plate couture celui qui est considéré comme "son père". 

Au gré des vents et tempêtes, SEM Macky Sall a réussi à sortir notre pays de la boue où il a été enlisé depuis bien des années, par ses prédécesseurs. Ce bilan, plus que positif sur bien des secteurs, lui a permis de rempiler à la tête du SÉNÉGAL pour son second mandat. Dès lors, le Sénégal ne cesse de gravir les marches de l'émergence, sous la vision éclairée de SEM Macky Sall. Ce processus, pouvant même prendre le nom de progrès, est salué chaque jour par des pays appelés puissances et, bien entendu, qui adoptent le modèle sénégalais comme référence.

Nous en voulons pour preuve le PUDC et l'Université Virtuelle du Sénégal ( UVS) qui ont fini de séduire plus d'un. Ces avancées significatives sont à mettre dans l'escarcelle du Président Macky Sall et de son gouvernement qui ont jeté les bases de l'émergence à un moment où l'espoir était devenu utopique. L'on se rappelle encore de cette hantise de voir, au lendemain de son accession à la Magistrature Suprême, des travailleurs ne pas percevoir leur salaire à la fin du mois, tellement la situation était chaotique. Et depuis, beaucoup d'eau a coulé sous les ponts.

Entre les chantiers qui sortent de terre un peu partout, les autoroutes, les routes, les pistes rurales, des programmes tels que PUMA, PUDC, PROMOVILLES, CMU....l'allègement du panier de la ménagère avec la réduction significative du prix des denrées de première nécessité, l'augmentation des bourses des étudiants et la diminution du prix des tickets de restauration, la construction de six nouveaux pavillons à l'UCAD et l'augmentation de la capacité d'accueil des universités, l'amélioration de la desserte électrique avec la réduction du coût de l'électricité , la Cité de l'émergence avec ses 17 tours en centre-ville de Dakar, le Train Express régional Aéroport Blaise Diagne-Gare ferroviaire de Dakar, le Tramway Blaise Diagne-Dakar, le Projet de Bus Rapide Transit sur voies réservées entre Guediawaye et Dakar-centre, la Construction du Quai de pêche de Soumbédioune, la Chaloupe Dakar-Rufisque, l'agrandissement du Stade Alioune Sitoe Diatta, la Construction de l'aréne nationale, la construction du Centre International de Conférence Abdou Diouf à Diamniadio, les sphères ministérielles de Diamniadio, la grande mosquée de Guédiawaye, des tracteurs et du matériel agricole de qualité mis à la disposition des agriculteurs, la police innovée et rééquipée devient la quatrième du continent remise sur pied de la compagnie aérienne Air Sénégal S.A avec ses deux Boeing néo A330, l'aéroport International Blaise Diagne, des bateaux patrouilleurs offerts à la marine nationale dont le « Conejera », le « Ferlo », le « Fouladou » et le « Kédougou », de nouveaux bus Dakar Dem Dik et Sénégal Dem Dik mis à la disposition des populations, des bus Tata éparpillés dans toutes les régions pour faciliter la mobilité des sénégalais, des taxis de l'émergence disponibles et salués par la population bref! (la liste est encore longue), le Sénégal s'est résolument tourné vers l'émergence.

Cependant, cette émergence tant souhaitée et tant attendue par les Sénégalais ne peut nullement être effective tant que certains comportements ne sont pas bannis de nos habitudes, aussi bien par la classe politique que par certaines populations qui, sous une couverture "déguisée", ne cessent de vouloir "crever les pneus" de cette émergence.

Il est normal que tous les secrétaires généraux des formations politiques de l'opposition aient envie de se retrouver à la Magistrature Suprême du Sénégal. Il est normal aussi que les populations aient des perceptions différentes. Mais, la logique voudrait que même si l'on n'est pas séduit par telle ou telle autre personne, que l'on puisse lui reconnaître sa valeur, ses aptitudes, ses réalisations, sa compétence. Comme on a l'habitude de le dire en wolof: " Lo bagne bagne leuk, nangoul ko ay nopam you goude" ( littéralement, " Aussi forte que soit ta haine pour le lièvre, il faut lui reconnaître sa rapidité").
Le Président Macky Sall a, à travers son programme ( Yonu Yokuté) balisé le terrain pour sortir enfin le Sénégal de la pénombre et de la torpeur. Et ceci ne peut s'opérer qu'avec une synergie des cœurs et des efforts.

L'opposition sénégalaise devrait pouvoir changer de fusil d'épaule pour le bien du pays, car en matière de valeur, d'aptitudes, de réalisations, de compétences, de vision clairement définie, d'amour pour notre pays, nul ne peut prétendre supplanter le Président Macky Sall. Force est de constater que le véritable problème de notre pays est cette " horde d'analystes politiques" qui, bon gré mal gré, essaient de dévoiler même les rêves les plus secrets que nous avons faits la nuit dernière.

Et les derniers événements qui se sont passés pendant l'inauguration de la mosquée Massalikul Jinaane et après cette dernière ont fini par nous donner raison. En effet, la réconciliation tant attendue du "père" et du "fils", mais aussi la grâce accordée à Khalifa Sall et cie ont été interprétées de la plus vile des manières par ces pseudos analystes qui gangrènent aussi bien l'espace médiatique que notre espace vital.
Le Président Abdoulaye Wade et le Président Macky Sall ont fini de montrer la voie au monde entier: quand l'intérêt commun se présente, il faut ipso-facto mettre de côté les intérêts individuels. Le Sénégal vaut plus que tout intérêt individuel.

D'aucuns nous diront que ce sont des calculs politiques... Chacun est libre de penser ce qu'il veut ( nous sommes en démocratie ), mais le fait est là. C'est la même chose pour la grâce accordée à Khalifa Ababacar Sall. C'est le lieu pour nous de féliciter le Président Macky Sall pour sa clairvoyance et son esprit de dépassement qui ne sont plus à démontrer.

Le Sénégal a besoin de toutes les bonnes volontés pour se hisser encore plus au devant de la scène internationale. Évidemment, il y aura toujours des sangsues qui, tapis dans l'ombre avec de sombres desseins, ne chercheront qu'à déstabiliser le pays, notre pays. Et il est plus que temps de leur opposer un "niet catégorique" car le Sénégal n'a et n'aura jamais besoin de ce genre d'individus.
Le Sénégal est notre pays, notre fierté. Ne serait-ce que pour nos enfants et les générations futures, ayons le bon réflexe : participer à son émergence en adoptant et en soutenant la vision concrète et clairvoyante du Chef de l'État, SEM Macky Sall, pour un Sénégal encore plus émergent.

M.Bacary Seck, président et coordonnateur du M.A.C.K.Y.
Membre de la C.R.I.C. (Cellule Républicaine d'Information et de Communication).
E-mail: seckbacary@gmail.com

 

 

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