Publié le 3 Oct 2016 - 09:21

RESTIC

 

Les supports d’identification doivent être étendus et diversifiés en dehors de la puce téléphonique. Ceci ‘‘afin de prendre en compte la forte communauté d’étrangers vivant au Sénégal qui ne possède ni ne détient de carte d’identité nationale sénégalaise’’, estime le Rassemblement des entreprises du secteur des technologies de l’information et de la communication (Restic).

La structure suggère que les cartes consulaires, les cartes d’identité d’autres pays étrangers réguliers, le passeport, le permis de conduire, la carte professionnelle, la carte d’étudiant soient autant de supports permettant une identification effective de l’abonné ou de l’usager dans le respect des lois et règles qui protègent les données nominatives et sans aucune menace de résiliation de sa ligne ou de son abonnement.

Pour ce rassemblement, ‘‘l’identification correspond à un impératif sécuritaire commun et national d’où notre invite à tous les acteurs et forces vives d’y prendre une part active pour une réussite effective de cette campagne’’, déclare le communiqué. Quant à la carte d’identité, le Restic suggère de reculer la date butoir, de novembre 2016 à janvier 2017 afin de laisser les consommateurs sans carte (ou qui l’avaient perdue) le temps de disposer des nouvelles pièces d’identité pour aller se faire enregistrer auprès de leurs opérateurs. 

 

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