Publié le 26 Aug 2013 - 22:08
DIAMONO FECC SCHOOL

Les quatre demi-finalistes sur le qui-vive

Il y avait 28 crews au départ de la première édition du «Diamono fecc school». Il n'en reste que quatre après une première étape qui a eu lieu samedi à la plage de la Bceao. Il s'agit de Young lex crew, Dynamik dance, Kill dance et Glamour.

 

C'est parti pour la première édition du «Diamono fecc school». Une compétition de danse debout pour les b-boys initiée par le label 99 records Jolof for life du rappeur Simon. La plage de la BCEAO a reçu la première manche éliminatoire. Huit crews étaient en compétition et jouaient les quarts de finale. Au finish, Young lex crew, Dynamik dance, Kill dance et Glamour ont été retenus pour la demi-finale, alors que Bout-bas, New style crew, Trouble maker et Monstaz crew ont été recalés.

La plage de Ngor virage va recevoir la prochaine étape prévue le 31 août. En prélude au premier battle, les organisateurs ont tenu une conférence de presse au Centre culturel Blaise Senghor vendredi dernier. A cette occasion, l'un des trois jurés a expliqué que le Diamono fecc school se faisait en 4 versus 4. C'est-à-dire que chaque groupe présentera 4 danseurs. Jusqu'à la finale, ils ont tous le droit de choisir les musiques sur lesquelles ils vont évoluer. Après, il appartiendra aux organisateurs de leur en imposer une.

Seuls deux groupes également iront en finale.  Ils seront choisis suivants différents critères dont la qualité de la chorégraphie, la musicalité, l’originalité, la créativité, le style, l’énergie et l’attitude des danseurs. En effet, le fairplay est noté et est beaucoup plus pris en compte que tout le reste. Le gagnant aura droit à 1 million de francs Cfa dont une moitié en espèce et une autre en nature offerte par le sponsor de l’événement.

Globalement, la manifestation requiert 32 millions de francs Cfa pour son organisation. Un budget loin d'être bouclé.  «Nous n’avons même pas la moitié de cette somme, car nous attendions toujours la réaction du ministère de l’Environnement. Nous sommes obligés de faire avec les moyens du bord...», explique Simon, dépité. Qui rappelle que, avant chaque Diamono fecc school, des séances de set-setal sont organisées, ainsi qu'une sensibilisation autour des déchets plastique.

 

 

 

 

Section: 
DIFFUSION ET EXPLOITATION DES FILMS AFRICAINS : Mobiciné, un modèle de réussite en Afrique
FESTIVAL IMAGE DU FLEUVE (FIF) DE BOGHÉ : « Destin d’un migrant » d’Omar Brams Mbaye remporte le Grand Prix
Festival 72 heures de Yarakh
FESTIVAL IMAGE DU FLEUVE DE BOGHÉ : Le Sénégal bien représenté
ACCES A L'INFORMATION : Entre ambition légale et défis de mise en œuvre
ANIMATEURS CULTURELS ET CONSEILLERS AUX AFFAIRES CULTURELLES : Le clash s’accentue avec la tutelle 
DÉFIS DE PROFESSIONNALISATION ET DE STRUCTURATION : Formation des artistes, une innovation majeure dans le Salon national des arts visuels
SALON NATIONAL DES ARTS VISUELS : Balla Ndao  remporte le prix du Président de la République
SALON NATIONAL DES ARTS VISUELS 2025 : Ancrage territorial, vitrine des créatrices, pluralité de techniques 
À Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar Faye, Président de la République du Sénégal
DÉFICIT DE COMMISSAIRE ET SCÉNOGRAPHE KHA’AB World Culture prend des mesures
ARCOTS
AÏSSA MAÏGA (ACTRICE-RÉALISATRICE) : Un modèle pour les femmes noires
Une si longue lettre au cinéma
CONTRÔLE DES TERRITOIRES, TRAFICS, DÉCISIONS ÉTATIQUES, CHANGEMENT CLIMATIQUE… : Ces facteurs de standardisation des peuples nomades
JOURNÉE DE L’ENFANT AFRICAIN : À Kolda, les enfants appellent au respect effectif de leurs droits
PROJET MUSLAB - MÉMOIRE VIVE : La valorisation du patrimoine sénégalais
60 ans Sorano
ASSISES NATIONALES DES MÉDIAS : Les grandes lignes du rapport final
ASSISES DES MÉDIAS AU SÉNÉGAL : Un tournant incertain pour une presse en crise