Publié le 6 Mar 2016 - 18:53
REFERENDUM DU 20 MARS PROCHAIN

La campagne pour le triomphe du NON  gagne du terrain à Thiès

 

Les membres du mouvement de la Convergence d’initiative pour le Sénégal, (Cis), ont tenu hier un point de presse. Une rencontre au cours de laquelle, ils ont décliné leur ambition de voter NON  lors des prochaines joutes référendaires  aux côtés du front pour le NON

 

‘’Nous sommes contre et disons non pour l’organisation d’un référendum qui est aujourd’hui vidé de son sens. Nous disons non pour un référendum de réformes sur lesquelles il n’y a eu ni des concertations, ni dialogue avec l’opposition’’. C’est, du moins, la position déclinée par le Secrétaire général de la Convergence d’initiative pour le Sénégal,  le professeur Pape Ibra Samb et ses militants qui faisaient face hier à la presse. Ledit parti a en effet reçu son récépissé le 20 février dernier.

Et  Selon son leader, l’organisation de ce référendum risque de diviser le pays en deux camps au lieu de consolider l’unité nationale et de renforcer la démocratie du pays. Aussi, le professeur Samb, d’estimer que puisque la réforme majeure  qui devait réduire le mandat en cours du président n’est plus concernée, l’idéal serait de s’asseoir autour d’une table afin de trouver des consensus avec l’opposition et la société civile. Et d’ajouter : ‘’il aurait été plus simple d’aller vers des réformes de consensus et de les faire adopter  par l’Assemblée nationale’’.

Dans la même veine, le Professeur  Samb, a fait savoir que si un référendum devait avoir lieu, il devrait être une consultation électorale au cours de laquelle les réformes proposées ne découleront pas d’une ‘vision manichéenne et réductrice qui risque de diviser la nation sénégalaise’’. ‘’Une situation qui serait néfaste économiquement et non viable politiquement surtout quand on sait que l’organisation d’un référendum nécessite plusieurs milliards de francs CFA’’, dit-il. Avant de prédire que le triomphe du NON se fera sans conteste  avec des alliances. D’où la volonté de son parti de rejoindre dans les meilleurs délais les rangs du Front du NON.

Les membres du mouvement de la Convergence d’initiative pour le Sénégal, (Cis), ont tenu hier un point de presse. Une rencontre au cours de laquelle, ils ont décliné leur ambition de voter NON  lors des prochaines joutes référendaires  aux côtés du front pour le NON

‘’Nous sommes contre et disons non pour l’organisation d’un référendum qui est aujourd’hui vidé de son sens. Nous disons non pour un référendum de réformes sur lesquelles il n’y a eu ni des concertations, ni dialogue avec l’opposition’’. C’est, du moins, la position déclinée par le Secrétaire général de la Convergence d’initiative pour le Sénégal,  le professeur Pape Ibra Samb et ses militants qui faisaient face hier à la presse.

Ledit parti a en effet reçu son récépissé le 20 février dernier. Et  Selon son leader, l’organisation de ce référendum risque de diviser le pays en deux camps au lieu de consolider l’unité nationale et de renforcer la démocratie du pays. Aussi, le professeur Samb, d’estimer que puisque la réforme majeure  qui devait réduire le mandat en cours du président n’est plus concernée, l’idéal serait de s’asseoir autour d’une table afin de trouver des consensus avec l’opposition et la société civile. Et d’ajouter : ‘’il aurait été plus simple d’aller vers des réformes de consensus et de les faire adopter  par l’Assemblée nationale’’.

Dans la même veine, le Professeur  Samb, a fait savoir que si un référendum devait avoir lieu, il devrait être une consultation électorale au cours de laquelle les réformes proposées ne découleront pas d’une ‘vision manichéenne et réductrice qui risque de diviser la nation sénégalaise’’. ‘’Une situation qui serait néfaste économiquement et non viable politiquement surtout quand on sait que l’organisation d’un référendum nécessite plusieurs milliards de francs CFA’’, dit-il. Avant de prédire que le triomphe du NON se fera sans conteste  avec des alliances. D’où la volonté de son parti de rejoindre dans les meilleurs délais les rangs du Front du NON.

                                                                             Oumy Ly (Thiés)

 

Section: 
Thierno Alassane Sall sur la LFR
POLÉMIQUE AUTOUR DE LA GESTION ÉCONOMIQUE ET DES LIBERTÉS PUBLIQUES L’APR exige des comptes sur la dette et dénonce une dérive autoritaire
FINANCES PUBLIQUES : L'État dans un véritable engrenage 
PLÉTHORE D'ORGANISMES PUBLICS : Ce que coutent les agences
MISE EN ŒUVRE DE L’AGENDA SÉNÉGAL 2050 : Cheikh Diba exhorte l’Administration des douanes à se réinventer
ADMINISTRATION SÉNÉGALAISE : Jean-Baptiste Tine plaide une refondation en profondeur !
VISA POUR LES USA REFUSÉ AUX LIONNES : Sonko hausse le ton, entre souveraineté revendiquée et critiques acerbes
BATAILLE DE POSITIONNEMENT : Pastef vs Pastef 
APRÈS AVOIR PARTICIPÉ AU DIALOGUE L'opposition demande à Diomaye de créer un comité inclusif de suivi
Arrestation de Moustapha Diakhaté
ARRESTATIONS POLITIQUES Entre rupture judiciaire et continuité répressive ?
Tas accuse Pastef de "Clanisme"
PUBLICATION DES RAPPORTS D’EXÉCUTION BUDGÉTAIRE : Diomaye et Sonko font pire que Sall
VOITURE DES DÉPUTÉS À 54 MILLIONS F CFA : La fracture morale
VISITE DE SONKO À PÉKIN : Une diplomatie économique au service de la souveraineté
LIBÉRATION DES DÉTENUS, HAUTE COUR DE JUSTICE, LIBERTÉ DE LA PRESSE : Ces mesures fortes attendues par l'opposition républicaine
FIN DIALOGUE NATIONAL : Mi-figue mi-raisin
SITUATION PARTI SOCIALISTE : Les responsables de Dakar appellent à la réunification
JET PRIVÉ DU PM : Entre fantasmes et réalité
DIALOGUE NATIONAL AU SÉNÉGAL : Incertitudes autour du statut du chef de l’opposition